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férence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’
édit de Nantes
» (16 février 1927)i Le sujet que M. Esmonin, professeur à la Facu
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mis de la pensée protestante : La révocation de l’
édit de Nantes
», Feuille d’Avis de Neuchâtel, n° 39, 16 février 1927, p. 8.
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à Gide une place instructive, qu’il est, depuis l’
édit de Nantes
, notre seul notable écrivain protestant26, non exilé, non réfugié, ma
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e réformés en France. Imaginez la proportion si l’
édit de Nantes
n’avait pas été révoqué ! — Je vous accorde volontiers ce quart. Quel
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le premier tome de cet ouvrage (des origines à l’
édit de Nantes
), le second tome qui vient de paraître10 témoigne de la volonté qu’av
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ui finit par triompher lors de la révocation de l’
édit de Nantes
. Mais alors cette révocation n’apparaît plus que comme un épisode, le
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Histoire de la Réforme française, tome II : De l’
édit de Nantes
à sa révocation, Librairie Fischbacher. La même librairie publie une
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Roi-Soleil à persécuter la Réforme, à révoquer l’
édit de Nantes
, à décapiter ses élites pour le plaisir maniaque d’établir l’uniformi
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Roi-Soleil à persécuter la Réforme, à révoquer l’
édit de Nantes
, à décapiter ses élites pour le plaisir maniaque d’établir l’uniformi
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L’
édit de Nantes
et sa révocation (mars-avril 1935)m Un conflit religieux « déchire
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i c’est l’État qui les a promulgués. On célèbre l’
édit de Nantes
au nom de l’ordre dans l’État. On flétrit la révocation décrétée au n
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blige à poser les deux questions suivantes : 1. L’
édit de Nantes
a-t-il « apaisé » quoi que ce soit, en imposant à un conflit spiritue
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aut bien une messe ! », c’est encore l’homme de l’
Édit
. À tout prendre, l’édit n’est qu’une réédition de la boutade, sur le
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e. La légende de la paix religieuse établie par l’
édit de Nantes
, légende chère aux historiens de la Troisième République, cède aux pr
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’est cette troisième faction qui a bénéficié de l’
édit de Nantes
. C’est elle qui a su l’appliquer conformément à la logique du régime.
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ercs nantis par le régime actuel pour camoufler l’
édit de Nantes
en mesure pacificatrice et pour dissimuler le fait patent de la simil
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riture sainte, t. I, p. 6, article ier . m. « L’
édit de Nantes
et sa révocation », L’Ordre nouveau, Paris, n° 19, mars-avril 1935, p
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même esprit qui obtiendra que Louis XIV révoque l’
édit de Nantes
, au nom du mot d’ordre unitaire : une foi, une loi, un roi. Et l’on c
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même esprit qui obtiendra que Louis XIV révoque l’
édit de Nantes
, au nom du mot d’ordre unitaire : une foi, une loi, un roi. Et l’on c
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même esprit qui obtiendra que Louis XIV révoque l’
édit de Nantes
, au nom du mot d’ordre unitaire : une foi, une loi, un roi. Et l’on c
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onnaires, réformés chassés par la révocation de l’
édit de Nantes
, « dissenters » embarqués pour la Nouvelle Amsterdam qui sera New Yor
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dans maints pays d’Europe par la révocation de l’
édit de Nantes
, mais gardant des relations épistolaires, échangeant des tuyaux, des
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onscience (comme le démontrent la révocation de l’
édit de Nantes
et les persécutions religieuses dans toute l’Europe). La conséquence